Aujourd’hui, le dialogue entre un praticien et son patient doit être restauré. Ce dernier est devenu un «consommateur» averti. Il ne subit plus : il participe.
Il importe en conséquence d’élaborer une relation transparente, confiante et responsable afin d’obtenir un consentement éclairé. Une transparence dans l’élaboration d’un diagnostic, une confiance dans une approche thérapeutique plus globale et une responsabilité partagée dans l’application d’un traitement.
Le praticien doit donc s’adapter à une mutation profonde de sa relation avec le patient.
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